À la douleur que j’ai est marquante par l’intensité qu’elle dégage et parce qu’elle touche à quelque chose de brut, d’universel … En ce sens, Brunelle a réussi son pari.- Iris Gagnon-Paradis, LA PRESSE
Une cohérence entre tous les éléments harmonise les tableaux. C’est un détour culturel à ne pas manquer.- Julie Timchuk, DF DANSE
La jeune chorégraphe affirme de nouveau son style singulier dont on apprécie l’humanité.- Margot Baffet, MA CULTURE.FR
Fiche TechniquePLOMB est son oeuvre la plus mature et sa danse y est plus imagée et plus belle que jamais.- Philippe Couture, VOIR.CA
Le casting est étonnant de pluralité et de qualités propres.- Brigitte Manolo, DF DANSE
L’enfilade de scène ballote le spectateur entre les émotions extrêmes et intenses.- Frédérique Doyon, LE DEVOIR
Fiche TechniqueOn s'émeut à la vue de cette danse-vérité aux accents poétiques.- Stéphanie Brody, LA PRESSE
Très tôt au cours de la pièce, ça se noue au niveau des tripes : quelque chose s’y passe d’assez inexplicable, et qui vraisemblablement dépasse l’ambition de la création.- Marion Gerbier, DF DANSE
Les images fortes, elle en a le talent, sans conteste.- Frédérique Doyon, LE DEVOIR
Fiche TechniqueLA nouvelle figure la plus intéressante en danse à Montréal.- Lili Marin, RADIO-CANADA.CA
Une jeune chorégraphe locale à surveiller. Outre l'audace et la candeur de la jeunesse insubordonnée, son travail montre déjà les signes d'une vision personnelle qui demande l'attention.- Victor Swoboda, THE GAZETTE
Foutrement, une énième histoire de l’amour. Celle-ci est touchante, rafraîchissante – elle bouleverse.- Félix Dyotte, NOMAG
Fiche TechniqueLa Compagnie Virginie Brunelle a été fondée en janvier 2009 à Montréal. Depuis le début, Virginie Brunelle y tient le rôle de directrice générale et artistique. Cinq œuvres s’inscrivent au répertoire de la compagnie : Les cuisses à l’écart du cœur (2009), Foutrement (2010), Complexe des genres (2011), PLOMB (2013), À la douleur que j’ai (2016). Les pièces ont été présentées sur les scènes locales, nationales et internationales. La compagnie s’est produite dans plus de 50 villes de dix pays du monde notamment Aarhus, Amsterdam, Bassano del grappa, Beyrouth, Brugge, Budapest, Mexico, Milan, Montréal, Sao Paulo, Séoul, Turin, Vancouver, etc..
À travers une quête d’humanité et d’authenticité autant dans ses thèmes que dans le choix des interprètes, Virginie souhaite créer un lien intime avec le spectateur par des propositions singulières et fortes qui sauront le toucher.
On reconnait son travail par des performances sensibles mais dures, des tableaux aux allures cinématographiques et un vocabulaire qui déconstruit les codes classiques par des rythmiques saccadées et une gestuelle brute alternant sans cesse entre puissance et relâchement. Mais par-dessus tout, Virginie s’intéresse aux humains, à leurs émotions et à la poésie inhérente au quotidien.