À la douleur que j’ai

2016 | 60 minutes

Chorégraphe Virginie Brunelle
Interprètes Isabelle Arcand, Claudine Hébert, Sophie Breton, Chi Long, Milan Panet-Gigon, Peter Trosztmer
Lumières Alexandre Pilon-Guay
Costumes Elen Ewing, Marilène Bastien
Conception sonore Jean Gaudreau, Virginie Brunelle
Dramaturge Stéphanie Jasmin
Répétitrice Anne Le Beau
Coproducteurs Centre national des Arts, Fonds de création CanDanse, (Agora de la danse, Banff Centre, Theatre Junction GRAND, Vancouver International Dance Festival)

Virginie Brunelle «lève son verre» à cette émotion brute. Au travers de cette amère poésie, la chorégraphe s’interroge ici sur l’inachevé – sur ce qu’il peut rester entre deux personnes – et offre cette action soutenue qui se fige dans le temps comme un souvenir : la douleur. Marque, lien ou repère (in)temporel, elle permet de porter un regard sur le groupe, la famille comme sur soi-même. Et dans une société contemporaine nourrie à cette substance dangereuse, Virginie Brunelle prouve que la douleur peut aussi être un pont émotionnel, une source de rencontre entre ses six interprètes et son public, une de celles qui ne laissera pas indemne.

« À la douleur que j’ai est marquante par l’intensité qu’elle dégage et parce qu’elle touche à quelque chose de brut, d’universel – et nous replonge, peut-être à notre corps défendant, dans nos propres souvenirs. En ce sens, Brunelle a réussi son pari. »

Iris Gagnon-Paradis, La Presse

« La jeune chorégraphe affirme de nouveau son style singulier dont on apprécie l’humanité. »

Margot Baffet, Maculture.fr

« Sans rien d’ostentatoire, À la douleur que j’ai frappe juste et trouve des images qui flashent le plateau de leur simple puissance d’évocation. De quoi attiser un regard neuf sur cet art délicat qu’est la danse contemporaine. »

Maud Cucchi, Le Droit